HEUREUSEMENT QU’IL Y A… LES POIVROTS ! (Partie 2) Par nicolasBpalaszuk
Les psychologues de comptoir vous expliqueront qu’ils font ça parce qu’ils sont extra sensibles, trop lucides etc. etc. Comme lesdits psy sont eux même « de comptoir », il ne faut accorder à leur théorie qu’un crédit relatif. Surtout qu’ils omettent dans leur raisonnement la motivation essentielle : c’est pour se fendre la gueule qu’ils picolent ! Comme une bonne rigolade vaut un bifteck, pas besoin de manger et donc d’assassiner de pauvres bêtes qui n’ont rien demandé. Les poivrots sont donc à n’en point douter les plus grands écologistes qui soient.
Les poivrots disent à qui veut bien les écouter que ce n’est pas vraiment de leur faute s’ils picolent, que c’est parce que des amis leur propose trop souvent de sortir « se la mettre » et qu’ils ont peur de les vexer en refusant… La bonne éducation, la politesse, la convivialité sont des valeurs qu’on ne peut dénigrer dans ce pays où Nadine de Rothschild talonne dans les sondages d’opinion et surtout dans le cœur des français Jeanne d’Arc et Beyonce.
Les poivrots font des mioches avec des poivrotes et ils les traînent avec eux dans les rades dégueulasses pas trop regardant sur la morale ni sur l’éthique professionnelle, sous l’œil tolérant, criminel ou rigolard des consommateurs gratteurs de tickets perdants, jusqu’à ce que, souvent par hasard, l’assistance publique ne se saisisse du problème et ne leur retire la garde parentale desdits rejetons. Il est prouvé que les génies de la littérature, de la peinture, de la plomberie ou de la science ont tous été traumatisés dans leur enfance. En traumatisant ainsi leur descendance, les poivrots contribuent donc au rayonnement culturel et scientifique de la France. Qu’ils en soient remerciés